dimanche 26 juillet 2015
best music english
best music english
Writing a love song should be easy, right? As Cole Porter wrote in 1928, "Birds do, bees do it, even educated fleas do it.…" But while we’re the first to admit that falling in love can be as easy as falling off a log, the business of writing a love song—one that’s not cheesy or obvious— is a challenge that the greatest songwriters have wrestled with since the first caveman grunted a serenade to his beloved. After painstaking research and several rock fights, Time Out has arrived at what we believe to be the 50 best love songs ever recorded. Expect to sniff along to the all-time classics (yes, you can tell Mom that Al Green is in there), get down like you’re at a wedding disco with some of the smoochiest party songs ever recorded (thank you, Madonna!), and feel a smile spread across your face when you hit the number one spot and think of your own number one sweetie—whether they know it yet or not. Bring on the love songs!
Written by Michael Chen, Brent DiCrescenzo, Adam Feldman, Sophie Harris, Oliver Keens, Tim Lowery, Marley Lynch, James Manning, Amy Plitt, Jenna Scherer, Hank Shteamer, Kate Wertheimer and Kristen Zwicker.
Written by Michael Chen, Brent DiCrescenzo, Adam Feldman, Sophie Harris, Oliver Keens, Tim Lowery, Marley Lynch, James Manning, Amy Plitt, Jenna Scherer, Hank Shteamer, Kate Wertheimer and Kristen Zwicker.
Le parkour (abrégé PK) ou art du déplacement (abrégé ADD) est une activité physique qui vise un déplacement libre et efficace dans tous types d’environnements, en particulier hors des voies de passage préétablies. Ainsi les éléments du milieu urbain ou rural se transforment en obstacles franchis grâce à la course, au saut, à l’escalade, au déplacement en équilibre, à la quadrupédie, etc.1.
Le parkour en tant que tel n’existe que depuis les années 1990. Du fait de sa jeunesse, il reste peu connu du grand public et des institutions sportives traditionnelles2.
Ce terme fut créé par Guillaume Pelletier, une des personnes à la base du projet Jump London, aux alentours de 2003. Son but premier était de donner une appellation du Parkour à l’échelle internationale, aussi les deux furent utilisées alternativement dans le documentaire. Toutefois, l’idée que ce faisait Sébastien Foucan, un des premiers traceurs et ami de David Belle, à propos du Parkour différait sensiblement. Ainsi, une seconde communauté, plus sensible à cette vision de la discipline, décida de finalement se baser sur l’interprétation de Foucan et de garder le terme de Free-Running, laissant du même coup le Parkour pour les adeptes de la discipline de Belle.
Définition
Le Free-Running base ses mouvements sur la beauté, la grâce et la fluidité. Ses pratiquants (les free-runners) s’entraînent dans le but de se mouvoir librement et avec élégance au travers de leur environnement, urbain ou rural. Le free-runner cherche à créer des mouvements innovants par son interaction avec les divers objets et obstacles qui l'entourent, une manière personnelle de s’exprimer et de ressentir une certaine liberté. En un mot, il cherche à apprécier.
Points communs
Evidemment, issus d’un même concept le Parkour et le Free-Running partagent toujours quelques similitudes. On notera par exemple que les deux disciplines se veulent non compétitives, toutes deux se basent sur la durée de leur pratique et de leurs pratiquants, elles demandent de grandes aptitudes physiques et révèlent un profond aspect philosophique, au-delà de leur aspect « spectaculaire ».
Inscription à :
Articles (Atom)